Dit comme ça, ça à l'air cool. La réalité est un peu différente à l'exception de la dernière étape.
D'abord l'ouverture. L'excitation est à son comble. On est face à cet espèce d'énorme machin orange qui pèse 1 tonne. On imagine ce truc remplit de pulpe savoureuse, tout prête pour faire de la tarte à la citrouille. Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmm. Dans sa main un couteau tranchant, près à en découdre après tant d'années de frustations, bercé par des films Américains où on voit des gen tailler des citrouilles sans pouvoir le faire savoir même.
Alors on prend un grand couteau et on découpe joyeusement le haut de la citrouille pour tailler un espèce de chapeau. Quand on en a terminé et qu'on soulève le-dit chapeau. Eh bien... disons que c'est un peu comme ouvrir un vieux tuppeware qu'on aura laissé trainer pendant 3 semaines dans un endroit chaud et humide. C'est absolument dégeulasse.
Au final, on se retrouve avec des kilos de chair plus ou moins noséanbonde qu'il faut de toute façon jeter car c'est inutilisable en cuisine. Adieu donc la tarte aux citrouilles. On apprendra par la suite que la tarte aux citrouilles se prépare avec la citrouille elle-même et non pas ce qu'elle contient. C'est à peu près le même principe que le poivron en fait...
Laissez parler l'artiste qui est en vous tudieu !
3 commentaires:
j'ai bien ri à votre expérience; j'essayerai l'année prochaine!
Je te donnerai des cours ;)
les graines ça se mange!
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